«Dame assise sur le trottoir», par Isabel Tejero

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Sur cette photo on peut voir à première vue une femme qui est assise dans un type d’emballage qui semble une valise. Dans son emballage, il pourrait y avoir des vêtements. La femme a l’air d’être en dormie et elle est dans la rue. On distingue un autre colis derrière sa jambe.

En plus, elle est contre un mur où il y des affiches comme un sur jazz, ou un autre à propos de « Baby Jane ? », un personnage qui fut Joan Crawford, une actrice américaine. On peut y voir à une femme adulte qui porte un manteau, un corsaire et dessous de celui-ci, un pantalon long, des bottes et des boucles d’oreilles. Je crois qu’elle porte aussi un foulard. Elle a les cheveux marron et courts et elle porte du maquillage sur ses yeux. La femme s’appelle Rosetta Lambanne et elle est d’Argentine mais elle habite en France puisqu’au fond de la photo, il y a une cathédrale qui ressemble Notre Dame, mais la rosace est différente. Ça m’a fait penser que le style est le même, le gothique. Elle á été mariée avec un homme avec qui avait deux filles mais elle s’est mariée pour la seconde fois avec une femme. Malheureusement, sa relation a empiré et depuis deux ans elles sont séparées et aujourd’hui elle habite dans la maison de ses parents avec ses filles.

Rosetta jamais n’a pas eu non plus de chance mais il y avait cinq mois que la chance frappé á sa porte et elle travail en train de faire des brioches de Saint Topez, une commune française où sont très connus ces petits gâteaux. Donc, son niveau de vie est moyen. À propos de sa personnalité, c’est une personne très bonne, surtout avec ses filles, elle est timide aussi, marrante, gentille et elle manque de confiance en soi. À propos de ses caractéristiques psychologiques, Rosetta est distraite, capricieuse et réservée. Elle c’est une personne méfiante aussi et elle n’a jamais eu beaucoup d’amis, et ceux qu’elle a connu l’ont déçu sauf Damian, Olivia et Melissa qui habitent en Argentine. Malgré cela, elle est en train de faire des amis en France, grâce à son nouveau travail. Alors, une bonne devise pour elle pourrait être « Dis-moi qui tu hantes, et je dirai qui tu es ».

La photo, qui est en noir et blanc, a été prise par Bruce Weber dans les années quatre-vingt-dix, parce qu’il a été surpris quand il a vu ce panorama dans la rue.

Photos-Expressions, par Marta Langa

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La photographie montre un homme qui est marche dans la rue. Il porte des lunettes de soleil. Il semble qu’il est seul. Il y a aussi des gens qui sont assis. Probablement, la photo a été prise récemment, parce qu’ils portent des vêtements qu’on porte actuellement.  Il semble qu’il fait beau mais pas très chaud, alors, il est le mois de Mai. Peut-être, la photo a été prise le 23 Mai 2005.

Au premier plan, il y a un homme. Il semble qu’il a 40 ans et il s’appelle Martin. C’est comme s’il marchait dans une rue. Probablement, la rue est à Bruxelles. On dirait que l’homme n’a pas de bras, mais c’est une illusion d’optique parce que on peut voir dans le miroir comme il est en train de se gratter le dos.

Martin porte des lunettes noires, un T-shirt blanc, des jeans et des chaussures blanches. Peut-être, il est peintre. Il semble sérieux. Probablement, il est venu d’un autre pays, par exemple du Maroc.

Au second plan, il y a des personnes qui sont assises par tene: à gauche, il y a deux personnes qui sont en train de bavarder et il y a une autre qui est en train d’attendre quelqu’un. À côté d’eux, il y a une porte où il y a des affiches. À droite, il y a un homme qui est en train de regarder Martin, mais il est debout.

En arrière plan, il y a un bâtiment étrange. Peut-être, c’est un lieu oú il y a des artistes comme des peintres, des écrivains, des musiciens… Je le crois parce que sur le mur, il y a quelques mots : « la maison des ateliers ». Il a des miroirs dans lesquels on peut voir la rue. Dans la rue, on distingue une porte avec clôtures. Aussi il y a un bâtiment avec de grandes fenêtres.

Apparemment, on entend des conversations et aussi de la musique qui vient de l’interieur du bâtiment. En plus, on respire l’odeur des gaufres tout juste sortis du four parce qu’il y a un stand de nourriture.

On dirait qu’une minute avant, l’homme était à l’interieur du bâtiment. Dans une minute, on ne pourra voir l’homme parce qu’il sera plus loin.

Apparemment, il y a un siècle, ce bâtiment n’existait pas. Dans un siècle, peut-être, le bâtiment n’existera plus.

La photo a été prise par un photographe qui était en train d’entrer dans le bâtiment parce qu’il devait photographier l’édifice pour faire une brochure.

Posiblement le photographe ne connait pas l’homme, mais il a cru que la photo serait très originale.

Photos-Expression, par Celia Andrés

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Apparemment, on peut voir une femme au premier plan qui est seule dans la rue. Aussi il y a une colonne avec des mots écrits en une langue étrange, mais j’imagine que ça peut signifier : « Liberté pour tous ». En arrière plan c’est comme s’il y avait un homme parce qu’il y a une ombre.

Peut-être qu’elle soit à Paris, en France, parce que c’est une ville où il y a beaucoup des bâtiments avec des colonnes. Par la robe qu’elle porte et par sa coiffure, je dirais que cette photo a été faite dans les années 50, plus ou moins, surement en été. Mais pour être encore plus précis, on dirait que c’était samedi soir.

Je pense que cette femme  s’appelle Caroline Linnes mais tout le monde qui a de la confiance avec elle, ils l’appellent Carol. Peut- être qu’elle ait vingt-cinq ans plus o moins et qu’elle est née dans quelque village en France. Après, quand elle avait vingt-trois ans, elle a déménagé à Paris pour travailler. Parce qu’elle a l’air d’être une femme courageuse et indépendante, car elle porte une robe très courte pour l’époque et elle est seule dans la nuit. Carol semble heureuse parce qu’elle est souriante et comme si elle dansait (pour le mouvement de la robe et pour la position de ses jambes, en plus elle porte des chaussures de danseurs). Elle a confiance en soi et elle est combative, alors sa devise personnelle peut-être la même que la devise de la France : « Liberté, Égalité et Fraternité ».

Apparemment, elle est dans une grande rue parce qu’on voit le bâtiment qui est à ses côtés. Il semble important pour ses grandes colonnes, comme une église par exemple. Alors, je pense qu’elle a sorti de la messe, la première, parce qu’elle est pressée. Car elle a un rendez-vous avec quelqu’un. Ensuite, ils iront au Cinéma Principal qui se trouve dans la même rue.

La photographie montre une rue vide, il y a seulement une femme, alors elle n’entendra aucun bruit parce que tout le monde est dans l’église. Mais au loin, il y a un vieux musicien qui est en train de jour de l’accordéon. Aussi dans cette rue il y a beaucoup de terrasses, surtout des crêperies, c’est pourquoi elle peut sentir le chocolat.

Comme j’ai dit avant, je crois que c’est la nuit, mais c’est une rue bien éclairée. Par rapport aux couleurs, c’est un peu ennuyeux mais on dirait que la robe est aussi en blanc et noir, car c’était la tendance.  Tous les bâtiments de cette rue seraient d’une couleur de briques parce qu’ils sont anciens.

Si on parle du photographe, je dirais qu’il s’agit de la personne avec qui Carol aura le rendez-vous et peut-être qu’il soit son copain, parce qu’elle lui regarde souriant (comme si elle était amoureuse).

En résumé, la photographie montre une femme, Carol, qui est sortie de l’église et qui est en train d’attendre quelqu’un pour avoir un rendez-vous et probablement c’est la même personne qui a pris cette photo, son copain ou sa copine.

C’est une photo qui éveille en moi le bonheur, l’optimisme et l’espoir, parce que c’est une photographie calme, insouciante et très naturelle, elle n’est pas préméditée avec un mannequin qui est en train de poser.