Chanson du mois de novembre: «Don Diego 2000», de Dionysos

 
Voici l’histoire de Don Diego 2000L’homme qui était doué d’une dyslexie magiqueQui faisait de lui un cowboy poétiqueMême s’il ne le savait pasIl était comme çaJ’ai suturé des mots à l’oreilleD’une fille incroyablement belleElle avait les yeux en pâte d’amandeNous disait il solennellementIl était comme çaOh oh oh oh don Diego 2000Oh oh oh oh don Diego 2000Oh oh oh oh don Diego 2000Oh oh oh oh don Diego 2000
J’adorais les petits silences bouffisD’éclats de rire retenusQue nous avions souvent entre amisQuand il cascadait dans les motsQuand il sera vieux et qu’il ressemblera à Robert MitchoumEt que sûr de lui il nous clamera pas de soucisNo soucy comme il ditNo soucyOh personne non personne ne rira de luiEt tout le monde aura un petit sourire conquisPosé sur les lèvresParce qu’il était comme ca
Oh don Diego 2000
Ohohohoh don Diego 2000Ohohohoh don Diego 2000Ohohohoh don Diego 2000

Chanson du mois d’octobre: «Toi + moi», Grégoire

 

 

Toi plus moi plus eux plus tous ceux qui le veulent,
Plus lui plus elle et tout ceux qui sont seuls
allez, venez et entrez dans la danse,
allez, venez et laissez faire l’insouciance
à deux, à mille, je sais qu’on est capable,
tout est possible, tout est réalisable
on peut s’enfuir bien plus haut que nos rêves
on peut partir bien plus loin que la grève

Oh Toi plus moi plus tous ceux qui le veulent,
Plus lui plus elle plus tout ce qui sont seuls,
allez, venez et entrez dans la danse,
allez, venez, c’est notre jour de chance
avec l’envie, la force et le courage
le froid, la peur ne sont que des mirages
laissez tomber les malheurs pour une fois,
allez, venez, reprenez avec moi.

Toi plus moi, plus tout ceux qui le veulent,
Plus lui plus elle et tout ceux qui sont seuls,
allez, venez et entrez dans la danse,
allez, venez, laissez faire l’insouciance,
je sais c’est vrai ma chanson et naïve,
même un peu bête mais bien inoffensive
et même si elle ne change pas le monde,
elle vous invite à entrer dans la ronde

Oh toi plus moi plus tous ceux qui le veulent
plus lui plus elle et tous ceux qui sont seuls,
allez, venez et entrez dans la danse
allez, venez, c’est notre jour de chance,
l’espoir, l’ardeur, prends tout ce qu’il te faut
mes bras, mon coeur, mes épaules et mon dos,
je veux te voir des étoiles dans les yeux,
je veux nous voir insoumis et heureux,
oh toi plus moi plus tous ceux qui le veulent,
Plus lui plus elle et tout ceux qui sont seuls
allez, venez et entrez dans la danse,
allez, venez et laissez faire l’insouciance

Toi plus moi plus tous ceux qui le veulent,
Plus lui plus elle et tout ceux qui sont seuls
allez, venez et entrez dans la danse,
allez, venez, c’est notre jour de chance,
Toi plus moi plus tous ceux qui le veulent,
Plus lui plus elle et tout ceux qui sont seuls
allez, venez et entrez dans la danse,
allez, venez et entrez dans la danse.

 

Écrans et baisse du niveau scolaire

Je partage avec vous ces trois liens vers des articles concernant les écrans et l’éducation.

À lire et… à réfléchir…

En Suède, les écrans à l’école feraient baisser le niveau scolaire des élèves – Ça m’intéresse (caminteresse.fr)

Face à la baisse du niveau scolaire, la Suède veut rétablir les manuels au détriment des écrans (ouest-france.fr)

La Suède juge les écrans responsables de la baisse du niveau des élèves et veut un retour aux manuels scolaires (lemonde.fr)

 

Des élèves de maternelle travaillent avec des tablettes, dans une école de Stockholm

Jane Dieulafoy à Calatayud

En 1895 l’archéologue et historienne de l’art Jane Dieulafoy (1851-1916) a visité la ville de Calatayud lors d’un de ses parcours à travers l’Espagne. Elle a donné ses impressions de ce voyage dans le livre Aragon et Valence (1901), où la partie consacrée à notre ville constitue un tableau vivant du Calatayud de l’époque et de ses habitants. La Française, femme pionnière dans différents domaines, a passé très peu de jours à Calatayud, mais elle a été témoin de faits extraordinaires qu’elle a transmis dans son ouvrage.

Suivez le lien pour lire en pdf l’article EL CALATAYUD DE 1895 VISTO POR UNA VIAJERA FRANCESA (à partir de la page 240)

Revista Cuarta Provincia nº 4 | Centro de Estudios Bilbilitanos (cebilbilitanos.com)

Ella, elle l’a

C’est comme une gaieté, comme un sourireQuelque chose dans la voix qui paraît nous dire «Viens»Qui nous fait sentir étrangement bienC’est comme toute l’histoire du peuple noirQui se balance entre l’amour et le désespoirQuelque chose qui danse en toiSi tu l’as, tu l’as
Ella, elle l’aCe j’n’sais quoiQue d’autres n’ont pasQui nous met dans un drôle d’étatElla, elle l’aElla, elle l’a (elle l’a)Cette drôle de voix (elle l’a)
Cette drôle de joieCe don du ciel qui la rend belleElla, elle l’aElla, elle l’a (elle l’a)Ella, elle l’a (elle l’a)
Elle aCe tout petit supplément d’âmeCet indéfinissable charmeCette petite flammeTape sur des tonneaux, sur des pianosSur tout ce que Dieu peut te mettre entre les mainsMontre ton rire ou ton chagrinMais que tu n’aies riens, que tu sois roiQue tu cherches encore les pouvoirs qui dorment en toiTu vois ça ne s’achète pasQuand tu l’as, tu l’as
Ella, elle l’aCe j’n’sais quoiQue d’autres n’ont pasQui nous met dans un drôle d’étatElla, elle l’aElla, elle l’a (elle l’a)