COMPTE-RENDU DU PROJET (Javier Gimeno)

Nous avons commencé en octobre avec le projet « Ces photos vous parlent ? » dans la classe de français au cours de la première année de Bachillerato. Nous sommes douze jeunes, huit filles et quatre garçons, avec notre professeur, treize.

La première phase du projet a consisté à décrire la même photo par écrit chez nous, où il y avait une fille entre des colonnes qui était en train de sauter, nous avons fait attention au lieu où elle a été prise (nous l’avons imaginé), le temps, et quelques détails plus, avec l’invention d’une histoire qui représentait la vie de la fille, de sa famille… on a aussi imaginé les couleurs parce qu´elle était en noir et blanc .

Après ça, nous avons fait un expose oral avec une photo que chacun de nous avait choisi, c´était comme l´écrit mais sans un texte avec d´autres images d’un livre de photographie en noir et blanc.

Le prochain jour nous avons vu des photos des commerces disparus en France et on a commenté les opinions sur les sentiments du propriétaire et nous avons pensé sur le type d’entreprise qu’ils pouvaient être.

Pour voir nos connaissances sur ce champ, nous avons réalisé deux examen, de l’oral et de l’expression écrite, et finalement, les premiers jours de décembre, nous avons fini le projet avec une exposition appelé « Le petit commerce disparaît » qui se base sur notre ville, Calatayud, et qui veut éveiller des sentiments de nostalgie, de tristesse et inviter à la réflexion sur notre société, à l´aide des petites phrases et photos bilbilitaines.

L’apprentissage a été très significatif, on a amélioré notre vocabulaire, avec des mots qui parlent des types d’entreprise ; des expressions pour évoquer des sentiments pour imaginer quelques situations, nous avons aussi appris la conjugaison du temps en plus-que-parfait pour se souvenir d’un événement passé, avant d’autre, aussi au passé.

J’ai trouvé le projet très bon parce que nous avons beaucoup avancé, non seulement en français, parce que nous avons travaillé dans le domaine de la photographie et on l’a diffusé aux journaux espagnols avec une lettre formelle (en espagnol).

L’unique obstacle a été la vitesse avec laquelle nous avons fait le projet, mais c’est bon, beaucoup de travail en peu temps, le bilan c’est très positif.

                                                                                 Atelier de tailleur Moreno

 

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