Apparemment, on peut voir une femme au premier plan qui est seule dans la rue. Aussi il y a une colonne avec des mots écrits en une langue étrange, mais j’imagine que ça peut signifier : « Liberté pour tous ». En arrière plan c’est comme s’il y avait un homme parce qu’il y a une ombre.
Peut-être qu’elle soit à Paris, en France, parce que c’est une ville où il y a beaucoup des bâtiments avec des colonnes. Par la robe qu’elle porte et par sa coiffure, je dirais que cette photo a été faite dans les années 50, plus ou moins, surement en été. Mais pour être encore plus précis, on dirait que c’était samedi soir.
Je pense que cette femme s’appelle Caroline Linnes mais tout le monde qui a de la confiance avec elle, ils l’appellent Carol. Peut- être qu’elle ait vingt-cinq ans plus o moins et qu’elle est née dans quelque village en France. Après, quand elle avait vingt-trois ans, elle a déménagé à Paris pour travailler. Parce qu’elle a l’air d’être une femme courageuse et indépendante, car elle porte une robe très courte pour l’époque et elle est seule dans la nuit. Carol semble heureuse parce qu’elle est souriante et comme si elle dansait (pour le mouvement de la robe et pour la position de ses jambes, en plus elle porte des chaussures de danseurs). Elle a confiance en soi et elle est combative, alors sa devise personnelle peut-être la même que la devise de la France : « Liberté, Égalité et Fraternité ».
Apparemment, elle est dans une grande rue parce qu’on voit le bâtiment qui est à ses côtés. Il semble important pour ses grandes colonnes, comme une église par exemple. Alors, je pense qu’elle a sorti de la messe, la première, parce qu’elle est pressée. Car elle a un rendez-vous avec quelqu’un. Ensuite, ils iront au Cinéma Principal qui se trouve dans la même rue.
La photographie montre une rue vide, il y a seulement une femme, alors elle n’entendra aucun bruit parce que tout le monde est dans l’église. Mais au loin, il y a un vieux musicien qui est en train de jour de l’accordéon. Aussi dans cette rue il y a beaucoup de terrasses, surtout des crêperies, c’est pourquoi elle peut sentir le chocolat.
Comme j’ai dit avant, je crois que c’est la nuit, mais c’est une rue bien éclairée. Par rapport aux couleurs, c’est un peu ennuyeux mais on dirait que la robe est aussi en blanc et noir, car c’était la tendance. Tous les bâtiments de cette rue seraient d’une couleur de briques parce qu’ils sont anciens.
Si on parle du photographe, je dirais qu’il s’agit de la personne avec qui Carol aura le rendez-vous et peut-être qu’il soit son copain, parce qu’elle lui regarde souriant (comme si elle était amoureuse).
En résumé, la photographie montre une femme, Carol, qui est sortie de l’église et qui est en train d’attendre quelqu’un pour avoir un rendez-vous et probablement c’est la même personne qui a pris cette photo, son copain ou sa copine.
C’est une photo qui éveille en moi le bonheur, l’optimisme et l’espoir, parce que c’est une photographie calme, insouciante et très naturelle, elle n’est pas préméditée avec un mannequin qui est en train de poser.